Déjà un semestre de passé ! Je radote, je radote, donc vous le savez sûrement déjà mais je suis très prise par la fac et j’ai peu de temps à consacrer au blog, et plus largement, aux anime, donc j’ai l’impression que ces articles sur les sorties de la saison sont de plus en plus courts et de plus en plus tardifs, et je m’en excuse ! Incroyable mais vrai, malgré le rythme effréné de la L2, j’ai quand même réussi à suivre quelques séries, qui sont les suivantes.
La première est bien sûr Tsurune: Kazemai Koukou Kyuudoubu, Tsurune pour les intimes. C’est le dernier anime en date de KyoAni, le premier depuis Free! a mettre en scène un groupe de personnages masculins, et je l’attendais depuis avant même son annonce !!! Comme son nom l’indique, ici, on parle d’un club de tir à l’arc japonais, dit kyûdô, et plus précisément de Minato Narumiya, un habitué de la discipline qui avait rangé son arc un temps à cause d’un incident et qui souffre d’un problème de décoche prématurée depuis. Je ne veux pas trop en parler pour l’instant parce que je suis seulement à l’épisode 5 et même si j’aime déjà beaucoup, je ne suis pas encore aussi emballée que j’aurais pensé l’être mais je pense que ça peut encore venir. Ceci étant dit, je passe quand même un agréable moment devant chaque épisode donc je recommande. Là où j’en suis, les personnages commencent à se rapprocher et à former une vraie équipe, une recette assez classique mais qui marche bien sur moi.
Du même studio, j’ai aussi regardé Liz to Aoi Tori ! Titre que, là aussi, j’attendais depuis longtemps, mais comme on a affaire à un film, j’ai dû prendre mon mal en patience jusqu’à ce qu’il soit disponible, de manière pas forcément légale, ici. Pour rapidement faire les présentations, c’est une sorte de spin-off de l’anime Hibike! Euphonium : le film se passe en même temps que la saison 2 mais se concentre sur les deux personnages qui y ont été introduits, à savoir Mizore et Nozomi.
Le film est encore mieux que tout ce que j’avais pu espérer !!! Il est de toute beauté… Vous remarquez déjà que l’animation est différente, les traits sont plus doux, c’est plus épurés, les couleurs plus claires/pastels,… sauf quand on est dans le monde de Liz, car le film alterne entre l’univers de Kitauji, et celui de conte de fées de Liz et l’oiseau bleu, où là on est face à quelque chose de beaucoup plus coloré, comme en témoigne l’affiche ci-dessus qui illustre très bien ce contraste.
Le plaisir n’est pas seulement visuelle car la relation entre Mizore et Nozomi vaut aussi le détour !!! De quoi m’aider à me remettre de ma déception quant au « couple » Kumiko x Reina… Hibike! Euphonium, des années après!, a fini par me donner ce que je voulais, ce que j’attendais de lui !!! Celles et ceux qui ont regardé Free! Dive to the Future ne pourront s’empêcher de faire le lien avec la relation Hiyori/Ikuya… je ne veux pas non plus raconter tout le film mais les similitudes sont… frappantes !!!
Quoiqu’il en soit, je recommande chaudement ce film, il est magnifique, j’ai déjà envie de le revoir, et même celles et ceux qui ne connaissent rien à Hibike! Euphonium peuvent l’apprécier : c’est fait pour.
On passe à un anime dont la diffusion s’est terminée il y a à peine quelques jours mais dont je suis encore à peine à l’épisode 7… Gaikotsu Shotenin Honda-san.
Si toutefois vous ne l’avez pas encore regardé, hé bien je le conseille. C’est un format court, les épisodes font une dizaine de minutes, et c’est toujours très chouette. L’aspect qui me plait le plus est que ça soit autobiographique : c’est un vrai libraire qui, derrière son masque de squelette, nous raconte des anecdotes sur son travail et nous apprend plein de choses sur le métier de libraire. C’est aussi intéressant que drôle !
J’ai également regardé l’épisode spécial d’Aggretsuko, sorti juste à temps pour les fêtes : We Wish You a Metal Christmas ! Un épisode de 20 minutes où Retsuko devient accro à Instagram et devient obsédé par l’idée de renvoyer l’image du réveillon de Noël parfait sur les réseaux sociaux. Un beau cadeau de Noël, avec l’humour d’Aggretsuko comme on l’aime et une fin toute simple qui réchauffe le cœur ; de quoi nous impatienter encore plus pour la saison 2.
Enfin, j’ai terminé un anime qui était en cours déjà depuis la saison dernière… le fameux Banana Fish. Et à partir de maintenant, attention, on va parler de la fin, pas non plus en en dévoilant trop mais assez pour que vous puissiez quand même vous doutez de ce qu’il s’y passe.
Donc, j’ai adoré Banana Fish, comme nous tous.tes, et j’aurais bien sûr voulu une fin heureuse pour nos deux protagonistes mais étant donné le type d’histoire à laquelle nous avions affaire, j’étais aussi préparée à une fin tragique. La fin tragique, on l’a eu, ça n’a pas manqué hahahahahaha, mais… elle fait débat.
Et je fais justement partie de celles et ceux qui ne sont pas satisfait-es ; certes, la lettre d’Eiji était très émouvante, je pourrais encore en avoir la larme à l’œil, mais la fin, pour moi, n’avait aucun impact. Trop rapide ! sorti de nulle part ! et j’oserais même dire… bâclée ? L’épisode était plus long que la norme et on n’a pourtant pas réussi à consacrer plus de trois minutes, les trois dernières !, à une scène aussi importante… Scène qui était de toute façon mal amenée, pas logique, c’était gratuitement tragique et cruel, ça n’avait d’autre intérêt que de nous tirer quelques dernières larmes, mais ça ne prend pas sur moi, c’était trop feignant. J’irai même jusqu’à dire que le message qu’elle renvoie est discutable, et contradictoire avec tout le développement d’Ash.
C’est bien sûr le manga qu’il faudra pointer du doigt, je sais bien que le studio, et Utsumi, la réalisatrice, n’y sont pour rien et n’ont fait qu’être fidèles à l’oeuvre originale, et je suis reconnaissante pour cette adaptation qui était géniale et m’a fait découvrir cette histoire et ces personnages qui sont devenus si importants pour moi au fil des semaines. La barre est placée très haut et je ne suis pas sûre de revoir un aussi bon anime de si tôt !
Et c’est tout ce que j’ai à dire sur Banana Fish et sur les anime de cet automne en général. C’est tout ce que j’ai réussi à regarder ; ce n’est donc un article très intéressant pour vous en termes de « découvertes » mais disons qu’au moins vous savez où j’en suis niveau visionnages… Je ne suis plus le rythme, je ne peux plus me permettre de regarder les nouveaux épisodes à leur sortie, et de moins en moins de nouveautés m’intéressent, donc pour 2019, comme j’en avais déjà parlé dans un article précédent, je pense arrêter les « premières impressions de la saison ». Ca me désole un peu mais je pense que désormais, je ferai seulement un article à la fin de l’année, avec tout ce que j’aurais regardé durant celle-ci (peut-être sous forme de classement). Ca marque un peu la fin d’une époque pour moi, qui le faisait chaque saison sans faute depuis 2011 !
C’est le printemps, les fleurs bourgeonnent et… les nouveaux articles aussi visiblement ! On se retrouve déjà, et je ne pense pas avoir besoin de vous expliquer pourquoi. Une précision cependant : d’habitude, je parle des nouveaux anime dans leur ordre de diffusion, mais comme cette fois-ci, j’ai tout regardé en un week-end et complètement dans le désordre, je vais en parler dans l’ordre où j’ai vu chaque pilote. Et on s’y met sans plus attendre ! parce qu’on a de quoi faire. Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas commencé autant de nouvelles séries, mais plein de choses m’intéressaient et je me suis dit que, au risque de ne pas en finir certaines, je n’allais pas me limiter.
J’ai démarré mon marathon des anime du printemps avec une adaptation que j’attendais avec impatience : Wotaku ni Koi wa Muzukashii. Ca aurait pu être une romance entre deux amis d’enfance tout ce qu’il y a de plus banal, mais Momose Narumi et Nifuji Hirotaka ont un autre point commun : ce sont des « otaku ». Si Nifuji ne se cache pas de son intérêt pour les jeux-vidéos, notre héroïne est quant à elle bien déterminée à ne pas laisser sa nature de fujoshi être découverte par quiconque dans sa nouvelle entreprise. Pas de bol, elle tombe nez-à-nez avec Nifuji, ami d’enfance et nouveau collègue, qui, même s’ils se sont perdus de vue depuis le collège, connait son secret et pourrait très bien griller sa couverture.
100% convaincue par ce premier épisode de Wotakoi qui réunit un peu de tout ce que j’aime. Je ne sais pas si la comparaison a vraiment lieu d’être mais ça m’a un peu rappelé Gekkan Shoujo Nozaki-kun, dans le sens où la romance est mignonne comme tout mais pas exactement « romantique » parce que… la comédie repose en partie sur le fait que ça ne soit pas le fort des personnages. La différence, c’est que là, ils sortent ensemble, et dès le premier épisode. Et je pense que ça va être très intéressant de voir leur relation, et surtout leurs sentiments, se développer petit à petit. De même pour celles des personnages secondaires qui, du peu qu’on en a vu, me plaisent déjà beaucoup.
Et l’autre chose que j’ai adoré, c’est évidemment que, parmi tous les anime sur des fans d’anime, c’est celui qui m’a le plus parlé jusque là. Le fait que l’héroïne ne soit ni une lycéenne, ni un stéréotype, aide sûrement. Je suis justement dans une période de ma vie où je peux… comprendre sa démarche, et je me reconnais en elle dans des détails tout simple (comme son porte-clé Kiyomitsu ?!), puis surtout, certaines conversations me paraissent très réalistes (en particulier tout ce qui touche aux relations).
Cependant, j’ai remarqué que plus d’une personne avait été déçue par cette adaptation ; comme je n’ai pas lu le manga, je n’ai pas vraiment de moyen de comparaison mais je peux comprendre la déception puisque je crois que c’est un peu ce qui est en train de m’arriver avec Mahou Shoujo Ore.
Aussi « objectivement » qu’on puisse l’être en parlant d’anime, je pense qu’on peut dire que ce premier épisode est réussi. Et pour quelqu’un qui découvre l’histoire, c’est cocasse, c’est fun, « haha le quatrième mur, la maman magical girl, la mascotte yakuza, et la cerise sur le gâteau, l’héroïne se transforme en mec baraqué », le concept est drôle et l’exécution l’est tout autant. Mais pour moi qui ai découvert le manga quand l’anime a été annoncé, il y a bien des années de ça (2012? 2013?), et qui l’ai relu quand il est sorti chez nous l’année dernière sous le nom de « Magical Girl Boy »… tout ça sent un peu le réchauffé, et je suis déjà un peu « over it » alors que ça vient à peine de commencer.
Et ce que certains ont ressenti avec Wotakoi, je le ressens ici avec Mahou Shoujo Ore : même si les animateurs ne sont fait plaisir avec les expressions faciales de Saki, la plupart des blagues, des « gags », étaient mal délivrés et ne m’ont pas fait autant rire que dans le manga.
Ceci étant dit, je reste curieuse de voir le contenu « original » de l’anime : le manga ne faisant actuellement que deux tomes, l’adaptation va devoir innover et j’ai hâte de voir ce que ça va donner.
Si vous non plus, Mahou Shoujo Ore ne vous dit trop rien, nulle inquiétude… il y a un autre anime de magical boys cette saison ! Et ce n’est autre que la suite de Binan Koukou Chikyuu Boeibu LOVE!. Ou « spin-off », devrait-on dire ? Alors que je pensais en avoir fini avec Boeibu, alors que la boucle était bouclée !, arrive… Happy Kiss. Et ce n’est pas pour me déplaire.
On avait fait le tour, avec notre cast original. La seule solution pour se renouveler, c’était celle-ci : même concept, nouveaux personnages. J’étais toute excitée de retrouver cet univers, cet humour absurde, mais avec de nouvelles têtes. Je les adore déjà ! Le chara-design est encore plus coloré qu’avant, et les nouvelles tenues sont plus travaillées et originales. Je ne parle même pas des transformations !!! J’adore l’idée du baise-main à la mascotte pour se transformer. D’ailleurs, maintenant même les mascottes sont des bishounen… et Karls est aussi mignon en loutre qu’en humain. Et cette fois-ci, ce n’est plus l’amour qu’on cherche à propager, mais le bonheur ! Nuance !
Je vais suivre Happy Kiss avec beaucoup d’enthousiasme, et en espérant que la série continue à se réinventer, parce que si pour l’instant, c’est frais et différent, l’histoire est à priori un copié/collé de ce qu’on connait : le club VS le conseil étudiant, deux frères venus d’une autre galaxie qui s’affrontent pour la domination du monde, blabla… S’ils veulent garder cette trame-là, soit, mais il va falloir redoubler d’efforts pour se démarquer.
Si plus tôt, je parlais de Wotakoi en disant que ça me rappelait Gekkan Shoujo Nozaki-kun, la comparaison avec Tada-kun wa Koi wo Shinai est encore plus appropriée. Même studio, même staff, même Namakura Yuichi ! Production originale de Doga Kobo, cet anime met en scène un lycéen tout à fait banal, Tada Mitsuyoshi, et une étrangère, blonde aux yeux bleus, Teresa Wagner. En visite au Japon pour la première fois, elle est un peu tête en l’air et aurait connu bien des soucis si elle n’était pas tombée à plusieurs reprises sur Tada au cours de sa journée. Tout a commencé avec une photo. Et de fil en aiguille, Teresa se retrouve assise au comptoir du café du grand-père Tada. Et oh ! énième coïncidence ! l’hôtel où elle loge est littéralement la porte à côté. Comme s’ils avaient été faits pour se rencontrer, et ne plus se quitter.
Dès les premières secondes, des plans magnifiques. C’est beau et c’est propre. Les personnages sont sympathiques. Un peu clichés, mais des clichés qui fonctionnent bien. Teresa est attachante avec ses références à « Rainbow Shôgun », et Kaoru est un dragueur imbu de lui-même comme on en a vu d’autre, mais avec l’excellente performance de Miyano Mamoru, on ne peut que l’adorer. Les autres personnages vont avoir besoin d’être un peu plus creusés pour être intéressants, mais le tout dans le tout, on passe un moment très agréable devant le premier épisode.
Mais l’anime ne se basant sur aucun support pré-existant, dur de prédire ce qui nous attend. De toute évidence, Teresa a du sang royal, mais pour une raison x, elle se retrouve au Japon, avec l’intention de mener un train de vie assez modeste. Mystère, mystère. Et à voir la situation familiale de Tada, dont les parents sont décédés, des thèmes plus sérieux risquent d’être abordés. Le potentiel est là donc je suis assez optimiste pour la suite mais je suis dubitative quant à la romance. A priori, pas tant d’alchimie que ça entre nos deux protagonistes, même le « destin » semble les lier. De plus, Tada ne « tombe jamais amoureux »… ça ne va pas être si simple.
A suivre de près.
Je ne sais même pas ce qui m’a poussé à regarder Devil’s Line, mais en tout cas, c’était une mauvaise idée. Je préfère ne pas trop en dire au risque de vous gâcher la « révélation » en fin d’épisode, donc gardons les choses simples : les vampires sont pas gentils, ils tuent des gens. C’est une histoire parmi tant d’autres de vampires qui essaient de s’intégrer à la société mais qui ne peuvent pas lutter contre leur nature, leur soif de sang, blabla. C’est surtout un bon prétexte pour mettre en scène des agressions sexuelles.
C’était… moche, grotesque, chiant, et vu et revu. Une perte de temps.
Après cette daube, j’avais besoin d’enchaîner sur une valeur sûre. C’était l’heure d’Amanchu! Advance. Seconde saison d’un anime que j’avais beaucoup aimé lors de sa diffusion il y a deux ans. On parle de plongée, d’anxiété, d’amitié. C’est d’une douceur sans nom. Un épisode aura suffit à confirmer que cette saison encore, la relation entre Teko et Peko sera toujours aussi attendrissante.
Cutie Honey Universe est un anime qui me faisait très envie cette saison. C’est coloré comme j’aime ! Mais c’est surtout une adaptation du manga de 1973 qui, comme DEVILMAN crybaby avant lui, célèbre les 50 ans de carrière de Go Nagai.
Le saga suit Kisaragi Honey. Sous ses airs de lycéenne normale, c’est une androïde capable de prendre multiples formes, qui combat une organisation répondant au nom de « Panther Claw ».
J’avoue ne pas être très familière avec le travail de Go Nagai, mais après avoir regardé Devilman, je suis quand même capable de reconnaître sa patte ! On reconnait notamment ses monstres, et… son goût pour l’érotisme. Et le saphisme visiblement. C’est la première chose qui a attiré mon attention : c’est très gay, on voit des filles qui s’embrassent dès la première scène, et deux profs qui couchent ensemble seulement quelques minutes plus tard, et… une tension homoérotique assez omniprésente. Je crois bien que toutes les filles sont lesbiennes, de façon plus ou moins explicite. Seulement voilà, tout n’est que pour le « male gaze ». J’aimerais en profiter malgré la fétichisation, mais parfois, c’est le malaise.
En parlant de malaise.. le fanservice, c’est un peu « le truc » de Cutie Honey ; en plus d’être une ébauche du genre magical girl, c’est aussi l’une des premières séries à avoir fait dans le fanservice à outrance. Aujourd’hui, c’est quelque chose qui ne surprend plus, et pourtant… certaines scènes… ne laissent pas de glace… mais ça se veut très absurde et exagéré ! et ça fonctionne !
Je vais pas vous mentir, j’ai trouvé ça très fun, très flashy, mais ça va nécessiter que j’éteigne mon cerveau pour pleinement apprécier ça sans prise de tête.
On passe à quelque chose d’un peu plus « tout public » ! Hinamatsuri, adorable histoire d’un yakuza qui se retrouve à héberger une gamine aux pouvoirs surnaturels après que celle-ci se soit écrasée dans son salon, avec l’intention de s’y installer. D’où elle sort, comment elle est arrivée là, ce qu’elle est vraiment et ce qu’elle veut,… Nitta n’a pas les réponses à ces questions, mais répond à ses caprices après s’être rendu compte que malgré les apparences, celle qu’il a nommée « Hina » est bien plus forte que lui.
C’est très chou. L’épisode est bien rythmé, on ne s’ennuie pas. Quand on a fini de rigoler, on nous envoie tout de suite une séquence émotion où Hina craint d’être une fois de plus manipulée et utilisée par un adulte, pour finalement se rendre compte que Nitta se soucie vraiment d’elle. C’est toujours attendrissant, le gros dur qui joue au papa, non ?
Au début, je me méfiais un peu : c’est quand même une enfant ! qui sort nue de sa capsule ! J’avais peur que ça soit ce genre d’anime. Mais fausse alerte. Pas de « loli fanservice », pas d’ambiguïté entre les deux. C’est très léger, et très drôle ! Je suis positive pour l’instant. Hâte de voir comment ça évoluera une fois que de nouveaux personnages se rajouteront au tableau.
Même après Devil’s Line, j’ai quand même eu le courage de tenter l’adaptation de Dorei-ku. Je me lance souvent dans des anime sans même en avoir lu un synopsis, mais là, je savais quand même qu’il s’agissait d’esclavage. Et en effet, l’intrigue tourne autour d’un appareil qui ressemble un peu à un bête appareil dentaire, le « SCM » « Slave Control Method ». Quand deux personnes le portent et s’affrontent d’une manière ou d’une autre (notamment des jeux d’argent apparemment), le perdant devient l’esclave de l’autre. Le SCM injecte une substance dans le cerveau qui empêche de désobéir au nouveau « maître ». Là encore, on a un prétexte tout trouvé pour faire des misères aux personnages féminins. TW ! Soyez prévenus avant de regarder l’épisode : il y a une scène de viol. Et l’anime risque de devenir de plus en plus dérangeant au fil des épisodes.
Voilà, ça vous donne une idée.
Je ne suis pas trop à l’aise avec ce qu’il se passe dans cet anime… Pas que je sois particulièrement sensible, j’ai vu pire, mais c’est la façon dont certains points sont traités qui ne me plaisent pas trop. Des personnages féminins qui sont très sexualisés, un personnage qui fait semblant d’être gay… C’est pas pour moi tout ça. C’était cependant très satisfaisant de voir une fille prendre sa revanche sur son viol et le torturer comme il se doit, mais j’avais la sale impression que l’anime essayait un peu d’inverser les rôles et de montrer que les deux pouvaient être tout aussi cruels l’un que l’autre alors que… bon… …
Dans l’absolu, j’ai rien contre ces séries un peu « fucked up » qui font dans la provocation, mais l’erreur, c’est vraiment de se prendre trop au sérieux, c’est que Doreiku fait… Si je le compare à Kakegurui par exemple (qui a un concept un peu similaire), c’était très sexuel mais complètement exagéré et assumé, et les situations étaient poussées à l’extrême, c’était absurde et irréaliste, mais c’était le but, et la série ne prétendait pas être plus que ce qu’elle était. C’était du divertissement, et pas une analyse du comportement humain ou je ne sais quoi. Doreiku essaie de faire ça, il veut nous faire croire qu’il est plus profond qu’il ne l’est vraiment, et ça ne marche pas.
Je ne sais pas encore si je vais continuer ou non.
Ce que je vais continuer en revanche, c’est l’adaptation de Persona 5 ! Le jeu, de la célèbre franchise Persona, a fait un carton lors de sa sortie en 2016. Jamais je n’avais été autant tentée par un opus de la saga, mais n’ayant pas de PS4, je n’ai finalement jamais pu en profiter. Et je n’étais pas sûre que l’anime soit l’occasion de le découvrir… les adaptations de jeux-vidéos sont souvent bâclées ou tout simplement mal foutues (c’est dur d’adapter un jeu et ses mécaniques au format anime, je le conçois). Les adaptations des jeux Persona en particulier n’ont pas la meilleur des réputations.
Mais Persona 5 pourrait bien être l’exception.
Je ne sais pas si je suis en mesure de vous expliquer tout ce qu’il s’est passé. L’épisode commence sur l’arrestation de Joker (qui est trop beau, au passage). Drogué, tabassé, il finit par révéler son identité : Amamiya Ren. A un moment, une femme (une inspectrice je suppose ?) débarque, vraisemblablement exaspérée par les méthodes de ses collègues. Elle le rassure en lui disant que ses acolytes n’ont pas été arrêtés, et essaie de le faire parler. A ce moment-là, un papillon apparaît, une voix lui parle d’espoir ou je ne sais quoi, et à la scène suivante, on le retrouve sous une apparence de lycéen binoclard (toujours trop beau) qui n’a pas l’air de pouvoir faire de mal à une mouche. Mais il ne faut jamais se fier aux apparences : si Ren est transféré à l’académie Shujin en plein milieu d’année, c’est dans le cadre de sa probation…
Je compte sur les prochains épisodes pour m’éclairer sur tout ce qu’il s’est passé en suite, parce que c’était pas très clair, mais au moins, c’était chouette. On accroche très rapidement. Et c’est beau ! J’ai été impressionnée par la qualité de l’animation. Je pense que pour quelqu’un qui a joué au jeu, ça doit paraître très rushé, mais pour quelqu’un qui découvre l’histoire, je n’ai pas l’impression que ça aille trop vite, ni de passer à côté de trop d’éléments importants. Prometteur ! J’espère ne pas me tromper !
J’ai décidé de terminer en beauté avec Uma Musume: Pretty Derby. Je connaissais Uma Musume, on en a pas mal parlé quand l’ONA est sorti en 2016, mais je ne savais pas trop ce que ça valait. Pour moi, c’était un exemple parmi tant d’autres d’anime « wtf »… rappelons quand même qu’il s’agit de filles-chevaux de course-idols. Je ne prenais pas le titre au sérieux, et je me disais qu’au pire c’était du fanservice qui répondait à un fétiche un peu trop précis. Ah, qu’on peut juger vite parfois !
L’anime suit Special Week, venue à la grande ville pour devenir le meilleur cheval de course du Japon. En bonne paysanne, elle est complètement paumée, en plus d’être maladroite de nature. Mais qu’est-ce qu’elle est mimi ! Pleine de rêves et d’espoir, naïve mais de bonne volonté. J’adore que, malgré son apparence humaine, on nous rappelle que c’est bel et bien un cheval par le biais de petits détails, comme le fait qu’elle donne un coup de patte arrière à l’entraîneur pervers (redoutable!).
Contre toute attente, l’anime est très sérieux ! Bon, ça reste très léger, et derrière le concept unique, ça a tous les codes d’un anime d’idols et d’un anime de sport banal, mais on voit que l’équipe derrière va jusqu’au bout de l’idée et prend la chose à coeur: tous les personnages sont nommés d’après de vrais chevaux de course, et se base sur l’Histoire de la course de chevaux au Japon pour les courses et leur issue. On appréciera le souci du détail !
Je le souhaite de réaliser son rêve, à la petite Special Week. Je pense que je vais bien m’amuser en suivant l’anime.
12 anime ! Ca rigole pas ! Pas sûre qu’il en reste autant à la fin de la saison… Et vous, qu’allez-vous suivre cette saison ? Je veux tout savoir !
Alors que la saison s’achève, je vous propose mon modeste bilan des quelques anime que j’ai suivi en ce début d’année. J’ai cru que cet article n’allait jamais paraître parce que j’ai eu bien du mal à trouver du temps pour terminer ces séries ! Mais nous y voilà, et aujourd’hui, je vous propose de faire quelque chose que j’ai le souvenir d’avoir déjà au moins une fois : un petit classement ! Rien qui se prétendrait être objectif bien sûr, je vais juste aller de l’anime que j’ai pris le plus de plaisir à suivre à celui qui m’a le plus déçue. C’est parti !
1 — IDOLiSH7
Je n’avais même pas prévu de regarder IDOLiSH7 ! J’ai failli passer à côté de ce qui est aujourd’hui en tête de ce classement !! La franchise étant très appréciée, et l’anime ayant bénéficié d’une incroyable promo’ au Japon, je me suis décidée à jeter un coup d’œil pour voir de quoi il en retournait… mais jamais je n’aurais pensé autant accrocher !
Cet anime, j’ai bien sûr continué à y trouver ce que j’avais aimé dès le premier épisode : un univers coloré, des personnages attachants, une touche d’humour,… mais à côté de ça, j’ai aussi été surprise par toutes sortes de révélations et rebondissements, des difficultés et des sacrifices, des conflits et des rivalités non seulement au sein de l’industrie du divertissement mais aussi au sein de familles ! La famille, qui est d’ailleurs un thème central dans IDOLiSH7 ! Si dans beaucoup d’anime de ce genre, les familles des personnages sont tout juste mentionnées, elles sont ici une place très importante dans la vie, et dans le développement, de chacun des personnages.
Personnages qui, soit dit en passant, sont tous multidimensionnels, attachants, et développés bien au-delà des archétypiques qu’ils sont censés incarner. J’ai aimé chacun d’entre eux, et j’ai aimé les voir évoluer ensemble. Leurs relations ne sont pas toujours évidentes, il y a des rivalité parfois entre les membres, parfois entre les groupes, et certains personnages ont vraiment dû prendre le temps d’apprendre à se connaître pour s’entendre, mais au bout du compte, ils ont tant d’amitié, et de soutient, à s’apporter les uns aux autres.
Et ils m’en ont vraiment fait voir de toutes les couleurs. Les personnages sont confrontés à tellement de coups durs, autant dans leur vie professionnelle que personnelle, que bien que l’anime soit agréable à regarder, drôle, et souvent « feel good », il ne manque pas non plus de « angst », si bien que le dernier épisode a réussi à m’arracher une petite larme. Et avec une fin pareille, je me demande comment je vais tenir jusqu’aux derniers épisodes qui ne seront diffusés qu’en mai !
En tout cas, avec SideM il y a peu, et IDOLiSH7 maintenant, il n’y a plus de raison de mépriser et ignorer les anime d’idols ! Il y a du très bon dans cette catégorie ! Ici, on voit qu’un soin tout particulier a été apporté à l’écriture, et c’est une bouffée d’air frais.
2 — Violet Evergarden
Impressionnante remontée dans ce classement pour Violet Evergarden auquel j’ai eu, je l’avoue, bien du mal à accrocher. Bien sûr, dès le début, c’était à tomber par terre visuellement, mais ça n’a pas suffit pour que je me sente concernée par ce qu’il se passait à l’écran. Aussi, plus le temps passait, plus je me sentais frustrée par le fait qu’on cache une si terrible vérité à Violet, j’étais pas sûre que ça lui rende service…
Si la première moitié de l’anime m’a donc laissé plus ou moins indifférente, je n’ai pas arrêté de pleurer comme un bébé pendant la deuxième moitié. Quand Violet a enfin su ce qui était arrivé à son Major, et qu’on a vu leurs derniers moments ensemble, quelque chose s’est… débloqué. Débloqué dans l’anime, débloqué en moi, je ne sais pas. Mais à partir de ce moment-là, j’ai enfin pu apprécier le personnage principal à sa juste valeur.
Personnage principal qui, pour revenir sur mon article de premières impressions, n’est finalement pas du tout un robot ! Et les poupées sont bien humaines aussi ! Je ne sais pas ce qui m’a donné l’impression du contraire… quoiqu’il en soit… le fait est que Violet est quand même « une arme », et bien qu’elle ne soit pas dépourvue d’un cœur ou d’émotion comme une machine le serait, elle a quand même du mal à s’exprimer et à mettre des mots sur ce qu’elle ressent. Par conséquent, quand elle commence sa nouvelle vie après une vie entière passée dans l’armée, elle est comme vide, impassible, incapable de comprendre les sentiments d’autrui,… ça avait tendance à frustrer aussi bien les gens autour d’elle que les spectateurs.
Mais de par son nouveau métier, Violet a finalement pu voir, et comprendre, l’amour, sous toutes ses formes. Tout ce qu’elle fait, elle le fait dans le but de comprendre les derniers mots du major, et chaque épisode, elle se rapproche un peu plus de ce but. Petit à petit, « l’arme » qui ne savait que répondre aux ordres est devenue si humaine qu’elle n’arrive même plus à contenir ses émotions. Rien que de repenser à tout le chemin qu’elle a fait pour en arriver là, je suis dans tous mes états ! C’était une très belle histoire.
3 — Sanrio Danshi
Sanrio Danshi… Sanrio Danshi… pour être cohérente avec l’éloge que j’en faisais au début de la saison, j’aurais dû le placer en number one dans cette liste mais… je dois reconnaître que la série s’est assez vite essoufflée. Et son animation avec ! En soi, ça reste « mon truc » ; j’ai toujours bien aimé la licence Sanrio Danshi, et l’anime déborde de bons sentiments et de mignonneries. L’épisode où la petite bande de copains se rend à Puroland m’a tout simplement fait fondre ! Même si je n’ai jamais vraiment cru qu’il avait le potentiel d’être LE meilleur anime de la saison, je pensais qu’il allait bien se défendre ! Les premiers épisodes allaient dans ce sens, en tout cas.
Le problème, c’est qu’à partir du moment où ils se sont mis en tête d’organiser quelque chose pour le festival culturel du lycée, ça a commencé à devenir très « fouillis ». Toute l’histoire s’est articulée autour de ce « projet » qui a pendant un moment était flou jusqu’à ce qu’ils se mettent d’accord pour faire une pièce de théâtre, là encore sans idées très précises du résultat final. Ca aurait pu être un peu plus supportable si Kôta n’avait pas passé les derniers épisodes à faire son gros caprice parce qu’il ne se trouvait pas aussi « kira kira » que ses amis !!! C’était ridicule ! Et il en même devenu violent ! C’est dommage, il y a eu beaucoup de mauvaises idées sur la fin.
L’anime reste fort « kittyful », il s’est juste un peu… cassé la gueule.
Le dernier épisode introduisant les « sanrio boys » les plus récents dans la licence (Naoki le prof de bio et Subaru le mec emo), je me demande s’il y a possibilité de saison 2 ? Mais je ne vois pas trop ce qu’elle pourrait raconter.
4 — Zoku Touken Ranbu: Hanamaru
Pas grand chose à dire sur cette deuxième saison, dans la lignée de la première ; même avec un changement de réalisateur, l’anime conserve son ambiance mignonne et détendue (parfois même un peu trop molle mais toujours « feel good »). Toujours plus de nouveaux personnages, mais je n’ai d’yeux que pour Kiyomitsu.
Personnellement, j’ai trouvé le retour de Yasusada un peu plat, un peu décevant, j’attendais quelque chose de plus épique ou d’au moins plus émouvant et satisfaisant après 12 épisodes d’attente, mais j’étais quand même contente de les voir réunis.
Saison 3 ? J’en voudrais une rien que pour voir Hyûga Masamune animé…
5 — Osomatsu-san 2
Dernière position parce que non seulement c’est une suite, mais aussi parce qu’avec ses 25 épisodes elle date déjà de l’automne dernier. Dernière position aussi parce que, comme je vous en avais déjà fait part, je ne… pense pas… qu’Osomatsu-san soit encore « mon truc ». J’aime toujours l’anime, et j’adoooore ses personnages, je ne me vois pas dire le contraire un jour, mais… cette saison 2 a eu tellement plus de « bas » que de « hauts »… Je me suis ennuyée devant tant d’épisodes, au point de faire quelque chose que je ne fais jamais d’habitude : faire avance rapide sur quasiment tous les segments d’épisodes consacrés à des personnages secondaires qui n’étaient pas Totoko ou Chibita.
Je ne sais pas si l’anime a changé, ou si c’est moi. Est-ce que Osomatsu-san est vraiment moins bon qu’autrefois ou est-ce que mes goûts et mon humour ont changé depuis 2015 ?
Si saison 3 il y a, je regarderai, mais plus avec le même enthousiasme qu’avant.
Et vous ? Qu’avez-vous regardé et aimé (ou non) cet hiver ? Dites-moi tout dans les commentaires !
Je suis de retour pour passer en revue avec vous les anime « otome » qui sortiront ce printemps, que dis-je!, dans quelques jours !! Surtout des formats courts cette saison, mais on a quand même de quoi faire. Voyons ce qui vaut, ou non, le détour.
STARMYU 2
■ 4 avril
■ C-Station
■ Musique, Idols, Comédie Musicale, Scolaire
■ Potentiel: ★★★★☆
On commence avec une suite; la saison 2 de Starmyu. Ou « High School Star Musical » mais personne n’appelle cet anime comme ça. C’est un de ces énièmes anime sur des idols, sauf que celui-ci, que vous choisissiez de me croire ou non, est vraiment pas mal. Peut-être parce que c’est une série originale, et tout ce qu’elle avait donc à promouvoir était ses propres CDs ? En tout cas, j’ai été surprise que ça se révèle être un anime plus que correct; ce n’est évidemment pas à prendre trop au sérieux, c’est souvent ridicule, mais je pense que la série en a conscience et joue beaucoup sur ça, elle sait aussi explorer des thèmes plus sérieux quand ça lui prend, et le rendu m’a beaucoup plu. Le fait que ça soit une comédie musicale joue beaucoup, j’adore quand les personnages se lancent dans des numéros musicales pour des raisons aussi futiles que… se présenter.
Ca ne plaira pas à tout le monde mais moi, c’est mon genre de truc, et j’ai assez confiance en cette seconde saison.
OUSHITSU KYOUSHI HAINE
■ 5 avril
■ Bridge
■ Comédie
■ Potentiel: ★★★☆☆
Et sinon, on a… ça. De ce que j’ai compris, Oushitsu Kyoushi Haine est sur quatre princes, qui, à priori, n’hériteront pas du trône mais… juste au cas où… leur père aimerait qu’ils soient formés à régner. Ce sont des excentriques, dur à tenir en place; du coup, on a fait appel à Haine, le tuteur royal (c’est le titre de l’anime, lol!!).
Je ne connaissais pas du tout, mais pourquoi pas ? D’après la bande-annonce, on peut s’attendre à quelque chose de rigolo; reste à voir si l’humour marche et si les personnages sont supportables. A voir !
J’ai longtemps débattu avec moi-même pour savoir si j’ajoutais Shingeki no Kyojin (saison 2!) ou pas à cette liste; c’est quand même très populaire auprès des jeunes filles, mais… c’est populaire aurpès de tous les publics, finalement. Et à la base, ça ne s’adresse pas au « public fujoshi », alors il n’a pas trop sa place dans cette liste mais sachez quand même que ça va sortir. Bientôt.
Comme d’habitude: il n’est pas impossible que je sois totalement passée à côté d’un anime qui ait sa place dans cette liste ! N’hésitez pas à me le faire remarquer, mais en attendant, je crois qu’on a déjà fait le tour… Reste encore les formats courts, les shorts !
SOURYO TO MAJIWARU SHIKIYOKU NO YORU NI
■ 3 avril
■ Seven
■ Drame, Erotique, Romance
■ Potentiel: ★☆☆☆☆
Bon. Celui-ci, j’en ai parlé plus qu’il ne le mérite. C’est l’anime adapté d’un manga érotique pour femmes; c’est sur une jeune fille qui retrouve son amour de lycée sauf qu’il est devenu prêtre au temple du coin. Ca ne les empêche pas de faire des cochonneries. Je suis curieuse, mais je ne pense pas qu’on devrait s’attendre à trop non plus; je la joue sûre/réaliste et mets seulement une étoile.
LOVE KOME: WE LOVE RICE
■ 5 avril
■ Encourage Films
■ Slice of Life
■ Potentiel: ★★★☆☆
Je l’ai aussi mentionné il n’y a pas si longtemps, mais si vous ne lisez pas mes articles régulièrement, voire, si vous débarquez tout juste, voilà rapidement à quoi nous avons affaire: ces beaux garçons sont en fait… du riz. Et cette forme humaine va leur permettre de former un groupe pour chanter leur amour du riz, et prouver au gens que ce féculent est mieux encore que le pain. Le pain, c’est surcôté.
J’aime les trucs absurdes comme ça, ça me botte direct. En plus, le format de 10 minutes me semble adapté à ce genre de concept. Ca pourrait être pas mal !
KENKA BANCHOU OTOME: GIRL BEATS BOYS
■ 12 avril
■ Project No.9, A-Real
■ Action, Romance, Scolaire
■ Potentiel: ★★★★☆
Un peu déçue de devoir le classer dans les « courts »; aussi d’une durée de 10 minutes, Kenka Banchou Otome est adapté de l’otome game du même nom, et ça fait… un bail que je veux y jouer, mais à défaut d’avoir une localisation, rabattons-nous sur l’anime. De ce que j’ai vu, il a le droit à une bonne promo à l’Animate d’Ikebukuro, on le voit beaucoup, et on ne peut qu’espérer que la hype soit justifiée.
Concernant l’histoire, rappelons-le, c’est l’histoire d’Hinako Nakayama, orpheline, mais qui, à son entrée au lycée, se fait approcher par un type nomém Hikaru, qui affirme être son frère jumeau. Apparemment, ils sont les enfants d’un chef d’un clan de yakuza, et Hikaru la supplie de prendre sa place, de se faire passer pour lui dans un établissement réservé aux garçons, fréquenté par les pires délinquants. Hinako va-t-elle devenir le boss de l’école ? Affaire à suivre.
ROOM MATE: ONE ROOM SIDE M
■ 12 avril
■ TYPHOON GRAPHICS
■ Malaise
■ Potentiel: ★★★★★★
Enfin, nous avons Room Mate. Celui-ci, j’en ai beaucoup parlé, et je pense que ça va être tout ce qu’il y a de plus gênant à regarder, surtout s’il est dans la même trempe que son équivalent féminin « One Room », mais j’adore les anime « à la première personne ». Ce concept ne cesse de me fasciner, et pas que dans le bon sens du terme.
Sinon, nous avons aussi YUME OUKOKU TO NEMURERU 100 NIN NO OUJI-SAMA SHORTS. Je le mets à part parce que c’est un ONA, c’est à dire qu’il sera diffusé sur internet et non pas à la télé japonaise. Les épisodes font 8 minutes, et la diffusion a débuté il y a seulement quelques jours, le 25 mars.
C’est adapté d’un jeu sur mobile de puzzle (avec des éléments de dating sim) du même nom, mais qu’on raccourcit en « Yume-100 »; il est assez populaire au Japon! et vous ne avez peut-être entendu parler récemment à l’occasion de sa collaboration avec Black Butler. Je ne sais pas s’il y a vraiment une histoire ? l’héroïne résout des puzzles pour charmer 100 princes différents, gotta catch ’em all. Quoiqu’il en soit, le jeu aura le droit à une vraie série animée qui passera sur les écrans de télé l’année prochaine. Pour patienter, cette mini-série proposera 10 épisodes.
Et en film, nous avons Free! -Timeless Medley- Bonds, dont j’ai déjà parlé en long et en large, et qui sort ce 22 avril. C’est un compilation movie, c’est à dire un long-métrage qui reprend des scènes de l’anime, en rajoute quelques nouvelles, et comme c’est assez long pour être passé en salles de cinéma, on appelle ça à un film. Il sera suivi par « -Timeless Medley- Promises » en juillet, et par un film, cette fois-ci complètement original, appelé « Take Your Marks » en octobre.
Enfin, Ao no Exorcist et DAYS reçoivent chacun des OVA, les 3 avril et 16 mai, respectivement !
Voilà voilà ! Avez-vous trouver votre bonheur dans cette liste ? Qu’allez vous suivre la saison prochaine ? Hors « anime otome », il y a pas mal de titres très prometteurs cette saison, mais ça, nous aurons l’occasion d’en reparler dans mon article « premières impressions » dans quelques jours !
Toutes les saisons, c’est la même chose: je teste les nouveaux anime et je vous en dis ce que j’en pense. Concept simple; mais cette fois-ci, on fait les choses un peu différemment. En effet, j’ai toujours eu pour habitude de faire un article mis à jour au fur et à mesure que de nouvelles séries sortent, mais… pas cet hiver !, ça ne valait pas trop le coup. C’est la première fois qu’aussi peu de titres m’intéressent, j’en ai vite fait le tour et j’ai décidé de sortir toutes mes reviews en même temps.
Les valeurs sûres:
C’est une saison bien pauvre mais on nous n’aurions pas pu mieux la commencer qu’avec Shouwa Genroku Rakugo Shinjuu: Sukeroku Futatabi-hen. Le Rakugo ou la vie était, aux côtés de Yuri!!! on Ice bien sûr, mon gros coup de cœur de 2016; pas seulement un de mes anime préférés de l’année mais vraiment un titre qui se classe maintenant dans mon top 5 des meilleurs anime que j’ai pu voir. Toute la première saison constituait en fait un flash back, elle nous est récapitulée par Yotaro sous la forme de rakugo en début d’épisode (très, très bonne idée!). Cette suite se déroule 10 ans après que Yotaro ait fait sa choquante déclaration: il est déterminé à reprendre le nom de Sukeroku.
Une immense joie que de retrouver ces personnages, et cet univers. Le nouveau « Sukeroku » apporte un petit vent de fraîcheur en tant que personnage principal, l’ambiance est plus légère: reste à savoir si ça va durer ! Autant on savait que la première saison allait finir en tragédie, autant le ton de la deuxième reste incertain. Quoi qu’il en advienne, j’ai 100% confiance en cet anime et je peux déjà dire avec certitude qu’il se classera parmi les meilleurs de 2017.
Un autre immanquable de cette saison n’est autre que Little Witch Academia. Je suis loin d’être une fan de la première heure, bien qu’étant au courant de l’existence des deux courts-métrages, j’ai vraiment attendu la dernière minute pour les regarder. J’ai aimé ce que j’ai vu, et j’étais plus que jamais prête pour voir ça sous format anime. Le premier épisode ne m’a pas déçue: c’est tout ce qu’il y a de plus charmant.
Il y a un bon paquet d’anime qui prennent place dans une « école de magie », mais je crois qu’aucun n’est comme celui-ci. Là, on est vraiment dans une école de sorcières: chapeaux pointues, capes et balais volants, on a toute la panoplie. Notre héroïne, « Akko », est ce qu’on appellerait une moldue: elle n’a encore jamais pratiquée la magie, mais! elle ne manque pas de motivation. Après quelques galères pour bien commencer l’année scolaire, elle va se lier d’amitié avec Lotte et Sucy et ainsi débute sa nouvelle vie.
Premier épisode très convaincant, l’animation au top, plein de bons sentiments et pas une once de fanservice, c’est agréable et ça a le potentiel de plaire à n’importe qui. Si j’ai autant confiance en cette adaptation, c’est parce que non seulement les deux films étaient très bons, je prends surtout en compte le fait que Little Witch Academia est le « bébé » de Trigger, c’était leur premier projet, ce titre accompagne le studio depuis le début, alors je pense que cet anime leur tient à cœur et qu’ils vont donner tout ce qu’ils ont dedans.
Un anime prometteur:
Les deux anime dont je viens de vous parler sauvent vraiment cette saison, peut-être que y’a pas grand chose à se mettre sous la dent mais au moins, ça, c’est du lourd. Une autre lueur d’espoir serait ACCA 13-ku Kansatsu-ka. C’était vraiment le seul autre anime que je trouvais digne d’intérêt parmi tous les autres sortis. Et pourtant, le scénario ne donne pas forcément envie.
C’est sur une bureaucratie au sein du royaume fictif de Dowa. Ce dernier est divisé en 13 états, tous administrés par ACCA, une organisation qui a pour but de maintenir l’ordre. Jean Otus est un haut-placé du bureau d’inspection, chargé de veiller à ce qu’il n’y ait pas de fraudes ou activités suspectes dans aucune des branches d’ACCA.
On ne peut pas encore vraiment dire qu’il y ait une histoire, c’est très lent, mais pas ennuyant pour autant: on prend nos marques, on découvre les rouages de ce monde, et ceux qui le dirigent, et… voilà. Un épisode d’exposition. Du coup, je ne sais pas trop où ça va nous mener, mais une chose est sûre, cet anime a du style: le graphisme, les personnages, la musique, tout a du style. J’imagine qu’il va y avoir un élément perturbateur, que Dowa va se révéler pas si paisible que ça; le potentiel est là, attendons de voir quelle direction ça prend.
Les daubes:
Comme j’avais rien d’autre à regarder, j’ai laissé sa chance à Kobayashi’s Maid Dragon, parce que c’est sur un dragon qui s’improvise maid (tous les éléments pour me plaisir!) et en plus c’est de KyoAni. Je teste toujours ce qui est signé KyoAni, même quand ça n’a aucune chance de me plaire, genre… AmaBuri ou Phantom World. Cet anime va d’ailleurs se ranger dans la même catégorie.
Le concept est simple: un soir, Kobayashi était bourrée, elle s’est perdue en forêt, a sympathisé avec un dragon, une dragonne pour être exacte!, et le lendemain, cette même dragonne se pointe à sa porte. Il se trouve qu’elle avait oublié l’avoir invitée à vivre chez elle… La dénommée Tooru prend alors une forme semi-humaine et s’improvise bonne, mais… elle a encore beaucoup à apprendre des mœurs des humains.
Pour être honnête… ça va. Le chara-design est similaire à Nichijou, pas trop ma tasse de thé, c’est un peu moe et y’a du ~fanservice lesbien~ comme j’en raffole pas. Beaucoup de fanservice pas fait pour moi tout court, d’ailleurs. Mais hé, c’était divertissant, y’avait des moments un peu drôles, c’est… plus du tout le genre de trucs que je regarde, mais ça se laisse regarder, c’est pas ce qui se fait de pire dans le genre. Vu les circonstances tragiques de cette saison, je pourrais bien continuer à regarder mais pff, les personnages qui attendent encore d’être introduits ne m’inspirent pas des masses. Pour un épisode, ça passe, mais toutes les semaines pendant trois mois ? je sais pas…
Je vais définitivement arrêter de laisser le bénéfice du doute aux anime sur les idols parce que… à chaque fois, je me fais avoir en beauté. Le coupable de cette saison, c’est Marginal#4 (Kiss Kara Tsukuru Big Bang blablabla). J’attends jamais grand chose de ces anime là mais j’ai toujours envie de les regarder au moins comme des plaisirs coupables, mais non, c’est juste trop nuls pour ça.
Marginal#4 est un groupe d’idols, composé de L, R, Atom et Rui. Ils font leurs débuts à un festival, ça se passe très bien, le public adore et en redemande. Conférence de presse: Rui se fait questionner sur le précédent groupe dont il faisait partie mais Atom arrête tout de suite la journaliste, parce qu’on ne remue pas le passé. Y’a un duo d’idols, on sait pas encore s’ils sont hostiles ou pas… Contrairement à ce que je croyais, il n’y a pas de manager (ça se limite au jeu); je repense à B-Project et me dit que ce n’est pas plus mal. Quand ils ne sont pas sur scènes, ils sont à l’école, ils essaient d’ouvrir un club,…
En vrai, il se passe que dalle, c’est super chiant, ça raconte rien. Y’a un moment qui m’a fait rire mais c’est vite redevenu naze.
Y’a plus qu’à attendre la saison 2 de Starmyu. Ces anime sont souvent nuls, du coup personne ne calcule Starmyu, mais si y’a bien un anime sur des idols masculines qui vaut le détour, c’est celui-ci !!
Voilà. J’ai hésité à m’infliger Hand Shakers pour constater de mes propres yeux à quel point c’est dégueulasse, j’étais aussi à deux doigts de me lancer dans Scum’s Wish mais je me suis vite rendue compte que ça allait pas me plaire. Hâte d’être au printemps, qui s’annonce quand même un peu ! Et vous, que regardez-vous cette saison ?
A ma grande déception, il n’y a pas beaucoup d’anime « otome » cette saison, il n’y a d’ailleurs pas beaucoup d’anime intéressants tout court. Pas que les anime otome sont toujours intéressants, loin de là, mais ça me fait peu de choses à évoquer. On va essayer malgré tout de passer en revue les sorties de cette saison, et pour que la liste ne soit pas trop courte, je vais exceptionnellement inclure les anime qui ne sont pas forcément « pour fujoshi » mais qui ont un large public féminin. Ce sera bien sûr une liste non-exhaustive, et si j’ai oublié un anime qui y aurait sa place, n’hésitez pas à me le faire remarquer !
NANBAKA 2
■ 4 janvier
■ Satelight
■ Action, Comédie
■ Potentiel: ☆☆☆☆☆
La suite de l’anime sur des prisonniers un peu cons. La première saison enchaîne directement sur celle-ci, c’est presque un anime de 24 épisodes mais ça a été présenté comme séparés en deux saisons distinctes, donc soit. La première ne m’a finalement pas convaincue, certains épisodes sont drôles mais on se perd dans un tournois aussi inutile qu’absurde qui se tire en longueur et je me suis lassée. Mais si vous avez aimé ce que vous avez vu de la première saison, la seconde sera probablement dans le même esprit et saura vous satisfaire.
AO NO EXORCIST: KYOTO FUJOUOU-HEN
■ 7 janvier
■ A-1 Pictures
■ Action, Démons, Surnaturel, Fantasy, Shounen
■ Potentiel: ☆☆☆☆☆
La très attente suite de « Blue Exorcist ». J’ai longuement hésité avant de l’inclure dans la liste; c’est déjà pas un anime pour fujo mais j’avais l’impression que c’était ce genre de shounen avec un grand public féminin, mais je n’étais pas tellement sûre de ce qu’il était en réalité ! Heureusement, n m’a dit dans l’oreillette que c’était bel et bien le cas.
SPIRITPACT
■ 7 janvier
■ Emon
■ Action, Romance, Surnaturel
■ Potentiel: ★★☆☆☆
Un des rares anime cette saison qui s’adresse à un public féminin et qui n’est pas une suite. C’est l’un des deux seuls, d’ailleurs. Spiritpact est adapté d’un webcomic chinois, on y suit le descendant d’une famille d’exorcistes, Keika You, qui se trouve être complètement fauché. Une nuit, il fait la rencontre de Ki Tanmoko. Ce dernier apprend à You qu’il est en fait… mort, il a été renversé par une voiture et n’est maintenant plus qu’un fantôme…
Voilà, ensuite ils s’allient pour combattre les mauvais esprits. Ca n’a pas l’air mauvais, ça n’a pas l’air d’être ma tasse de thé non plus. Apparemment c’est un boy’s love, mais avec une histoire assez consistante derrière l’aspect « romance », donc à voir ? on n’a rien à perdre cette saison, y’a pas grand chose à regarder alors pourquoi pas lui donner une chance. Il y a de plus en plus d’œuvres chinoises adaptées en anime, mais je n’en ai encore jamais regardé donc ça sera une première fois !
Celui-ci par contre, je sais qu’il a un public féminin assez conséquent ! Si je ne me trompe pas, on en est à la sixième saison donc à ce stade vous avez déjà votre propre avis sur la question.
YOWAMUSHI PEDAL: NEW GENERATION
■ 10 janvier
■ TOHO Animation
■ Comédie, Sport, Drame, Shounen
■ Potentiel: ☆☆☆☆☆
Pareil que pour Gintama: à ma connaissance, les cyclistes sont assez populaires auprès des filles !, et c’est aussi une nouvelle saison donc je n’ai personnellement pas d’avis à donner, mais si vous, vous avez vu les deux premières, vous savez quoi en penser.
SUPER LOVERS 2
■ 12 janvier
■ Studio Deen
■ Comédie, Drame, Romance
■ Potentiel: ☆☆☆☆☆
Deuxième saison de cet anime qui mêle inceste et shotacon, tout ce qu’on aime pas dans le Boy’s Love… Si vous avez pu passer outre tout ce qu’il y avait de malsain dans la première saison, la saison 2 vous plaira sans doute.
MARGINAL#4: KISS KARA TSUKURU BIG BANG
■ 12 janvier
■ J.C.Staff
■ Musique, Idols
■ Potentiel: ★★☆☆☆
Avec Spiritpact, c’est le seul anime cette saison qui n’est pas une suite: espérons que ça soit bien !! Malheureusement, les anime d’idols, ça passe ou ça casse, et souvent ça casse. A chaque fois, on croise les doigts pour que le nouveau titre de la saison soit une exception à la règle.
Peu de détails sur l’histoire, mais comme beaucoup d’anime du genre, ça démarre sur un manager qui débute dans le métier et qui s’occupe du groupe Marginal#4, composé de L, R, Atom et Rui. Des noms qui vont être faciles à retenir, pour le coup. Ils rencontreront aussi d’autres groupes, à savoir Unicorn Jr. et Lagrange Point… Bon, ça n’a pas l’air d’avoir beaucoup de potentiel, ça me rappelle la daube qu’était B-Project y’a quelques mois, et ça m’a tout l’air d’une grosse pub pour faire vendre les CDs qui sortiront en même temps mais… ça n’empêche pas un anime de qualité, en soi, mais généralement on se foule pas pour ces anime-là.
Voilà, on a très vite fait le tour ! C’est tout les titres qui rentrent dans nos critères… A voir aussi:
La suite de l’excellent « Le Rakugo ou la vie » sorti au début de cette année 2016. C’était mon gros coup de cœur de l’année, aux côtés de Yuri!!! on Ice. Si je ne l’ai pas mis dans la liste, c’est parce que je trouve qu’il n’y a pas vraiment sa place… il est aussi destiné à un public féminin, mais pas exactement le même; comme c’est un « josei », l’histoire est un peu plus mature, le public est principalement adulte, tandis que les anime « otome » c’est plus pour les jeunes filles, y’a plus de fanservice, c’est dans un esprit différent. Je le mentionne quand même, à part, mais je tenais à lui faire une petite place.
OSOMATSU-SAN: OUMA DE KOBANASHI
■ 12 décembre
■ Studio Pierrot
■ Comédie, Parodie
■ Potentiel: ★★★★☆
Je le mets aussi à part bien qu’il soit très populaire chez les fujoshi pour la simple et bonne raison que c’est… pas vraiment une nouvelle série, c’est juste un épisode spécial en collaboration avec la JRA (Japan Racing Association), et en plus il est déjà sorti ce mois-ci; c’est un peu particulier du coup, mais quand même à voir si vous êtes fan d’Osomatsu-san. Je ne l’ai, pour ma part, pas encore vu!!, et je n’en ai pas entendu parler non plus (ce qui est étonnant vu la popularité que l’anime a connu… j’ai l’impression qu’il est tombé dans l’oubli aussi vite qu’il a connu le succès, mais peut-être que la flamme se ravivera si une vraie suite voit le jour). Cela dit, même sans savoir ce que ça vaut, j’imagine qu’on ne peut que passer un bon moment en retrouvant nos sextuplés préférés.
Cet épisode spécial était accompagné de 6 ONA, des épisodes de pas plus de deux minutes, qui sont sortis entre octobre et décembre. Si jamais ça vous tente !
Sur ce, on a fini ! Pas très prometteuse cette saison… Outre anime otome, je suis assez impatiente de voir Little Witch Academia!, et peut-être ACCA: 13-ku Kansatsu-ka ?, et pour le reste, je ne sais pas trop, je me baserai sur les reviews pour décider de ce que je suivrai, mais en attendant, il y a peu de titres que j’attends avec impatience. Qu’en est-il de vous ? Dites-moi tout en commentaires !